Canalisation "Peuple des Etoiles" du 22/12/2016 à 16/36 # Elendë Nolofinwë
Prenons un exemple trouvé sur le web quand à l'explication qui est donnée à propos des céphalées. Près d’une personne sur 2 âgée entre 18 et 65 ans déclare être sujette à des maux de tête. Néanmoins peu de personnes savent différencier une migraine d’une céphalée de tension. Il n'y a pourtant, physiologiquement parlant, aucune différence, il n'existe qu'une seule et même source aux céphalées et aux migraines.
Le mal de tête, appelé céphalée, correspond à une douleur ressentie dans la région crânienne. Il existe plus de, non pas une centaine de maux de tête différents, mais une dizaine pouvant émaner de dix endroits possibles. Quant aux céphalées primaires auxquelles sont rattachées la migraine et la céphalée de tension, ainsi que les céphalées secondaires, toute cette logique est fausse. Plusieurs critères permettent de définir s’il s’agit d’un mal de tête ordinaire, appelé céphalée de tension car elles englobent, non pas les céphalées chroniques quotidiennes, mais rien du tout. Voici les détails des migraines qui se composent en deux parties.
♦ LES CÉPHALÉES DE L'ENFANT
Quand il est dit que la migraine de l'enfant est paradoxale à plus d'un titre : lors des crises, la douleur est sévère, les enfants sont souvent livides, "cadavériques", incapables de bouger, ils sont obligés de s'allonger dans la pénombre, vomissent parfois massivement, voient, sentent, entendent des "choses bizarres"
Explication : En fait, c'est par rapport à la prépondérance de la sommité labiale engendrée par la défaillance magnétique engendrée par les équinoxes de printemps, et qui agissent sur le cortex cérébral intramédulaire, occasionnant de ce fait une réaction violente d'origine énergétique chez l'enfant.
La solution : Il faut attendre que ça passe, il n'y a rien d'autre à faire, et seul le sommeil peut réguler le cortex cérébral et permettre un retour à un état normal. Ce phénomène cyclique concerne une fourchette d'âge comprise entre 5 et 7 ans.
♦ LES CÉPHALÉES DE L'ADOLESCENT
Après l’âge de 12 ans, chez les filles comme les garçons, les crises disparaissent ou, au contraire, deviennent plus longues, plus fréquentes et plus intenses, elles s’unilatéralisent plus clairement et sont ainsi davantage assimilables à de « vraies migraines » ( c’est-à-dire celles de l’adulte ). Chez la petite jeune fille, c’est vers cet âge que des variations hormonales peuvent s’ajouter comme facteurs déclencheurs des migraines.
Le tableau clinique de la douleur migraineuse de l’adolescent est fort semblable à celui de l’adulte :
- Douleur intense.
- Phonophobie.
- Photophobie.
- Nausée, voire vomissements.
- Migraine précédée, comme chez l’adulte dans 30 à 40% des cas d’un aura.
Explication : En fait, les céphalées de l'adolescent se situent par rapport aux événements subcorticaux des épicentres nerveux dépendants d'un processus de calcification impartis dans le cycle osseux.
La solution : Il faut attendre que ça passe, il n'y a rien d'autre à faire, et seul le sommeil peut réguler le cortex cérébral et permettre un retour à un état normal. Ce phénomène cyclique concerne une fourchette d'âge comprise entre 12 et 14 ans.
Elendë Nolofinwë
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